Naissance de Vincent Van Gogh le 30 mars 1853 à Groot Zundert, dans le Nord-Brabant.

Vincent Van Gogh quitte son village natal pour se rendre à l'internat Jean-Provilly, à Zevenbergen.

Vincent est inscrit dans le registre de la population de la ville de Tilburg. Il suit les cours d'un établissement d'enseignement.

Vincent quitte pour toujours Zundert, il est engagé comme jeune employé dans la galerie d'art Goupil à La Haye. La famille Van Gogh quite Zundert. Vincent commence à échanger des lettres avec Théo.

Vincent est envoyé à la filiale du groupe Goupil & Cie à Londes où il habite la pension de famille de Mme Loyer, et tombe amoureux d'Ursule, la fille de la propriétaire.

Vincent est appelé à la maison mère de Goupil & Cie à Paris.

Décembre 1974, Vincent retourne à la filiale de Goupil & Cie à Londres.

Vincent est renvoyé de nouveau contre sa volonté à la maison mère Goupil & Cie à Paris. Depuis q'Ursule lui a refusé sa main? Il écrit des lettres mélancoliques. Vincent est congédié de la firme Goupil & Cie.

En compagnie de son père, Vincent se rend d'Etten où il habite chez ses parents, à Bruxelles.

Vincent est arrivé à Ramsgate où M. Stokes l'a admis comme aide-instituteur dans son école.

Vincent perd sa place. Apied il se rend à Londres --- une très longue distance --- et dort la nuit en plein air. Il devient aide-prédicateur chez le pasteur méthodiste M. Jones, à Isleworth.

Décembre, Vincent est de retour chez ses parents dans le presbythère d'Etten.

Vincent à trouvé un emploi à la librairie Blussé & Van Braem à Dordrecht. Le 30 avril, il écrit à Théo sa dernière lettre de cette ville.

Après avoir poursuivi les études classiques pendant une année à Amsterdam, de mai 1877 à mai 1878, il les abandonne. Il renonce à recevoir les grades réguliers en théologie. Il sera pasteur à sa manière et dit à ses parents qu'il se sent appelé à prêcher l'évangile.

Vincent ne s'intérese pas sérieusement à l'étude des langues latine et grecque et l'abandonne. Il retourne à Etten où pendant un mois il se prépare à l'admission tant espérée à l'école de formation pour évangélisateurs à Bruxelles, dirigée par le maître Bokma. En compagnie de son père et du pasteur Jones d'Isleworth qui certain dimanche est de passage à Etten, Vincent se rend à Bruxelles. Le 21 juillet il accompagne son père à Zundert, son village natal, et y assiste au prêche du pasteur.

Vincent se rend à Laken-lès-Bruxelles afin d'y étudier à l'école pour évangélisateurs du maître Bokma.

Fut prédicateur dans le Borinage en 1879. En août 1880, enfin Vincent voit clair dans sa réelle vocation : il dessine. A Théo il écrit: « Je me suis dit : je reprends mon crayon, je me mets de niuveau à dessiner, et depuis lors tout a changé pour moi. »

En 1880, s'installa à Bruxelles et s'inscrivit aux Beaux Arts.

Nous sommes maintenant en 1881. Van Gogh a ving-huit ans. Revenu du Borinage. d'où il a rapporté ses premiers dessins, il est rentré à la maison paternelle et il se consacre tout entier à son art. Cependant comme le travail auquel il se livrait lui coûtait le prix de ses toiles, de ses couleurs et demandait certains autres frais, il devait recourir sans cesse à l'aide de ses parents. Ils n'appréciaient nullement son art, sous la forme qu'il prenait. Lui-même ne se préoccupait en aucune façon d'en tirer profit. Ils le voyaient donc à leur charge, état de choses qui risquait de s'éterniser.

Vincent a quitté la maison paternelle d'Etten afin de s'établir à La Haye où depuis quelques temps il reçoit des leçons de son cousin Antoine Mauve, peintre représentatif de l'école de La Haye. Il est admis à l'hôpital municipal où il reste en traitement pendant plusieurs semaines. Il est rentré chez lui et après avoir surtout dessiné il commence à peindre. Après avoir sans cesse dessiné et aquarellé pendant deux ans, il éprouve pour la première fois le charme de la peinture à l'huile.

Vincent dit adieu à Sien et se rend de La Haye à la Drenthe où il réside successivement à Hoogeveen et Nieuw-Amsterdam. Il fait aussi une visite rapide à Zweeloo, « village où Liebermann a logé longtemps. Il s'intéresse beaucoup à ce peintre allemand. »

Le 1er décembre, Vincent de la Drenthe écrit sa dernière lettre à Théo. Il ne supporte pas plus longtemps la solitude et ne sachant où donner de la tête, il se rend une fois de plus sous le toit paternel, en l'occurrence le presbytère de Nuenen. En juillet 1884, pendant une « dizaine de jours », Van Rappard est l'hôte de Vincent à Nuenen. Le 31 avril, Vincent qui avait pensé envoyer son tableau des Mangeurs de pommes de terre à Théo comme cadeau d'anniversaire (1er mai), écrit à son frère squ'il fait des progrès mais ne l'a pas encore achevé. Le 27 novembre il quitte Nuenen.

De fin 1885 à début 1886, demeura à Anvers : découverte de la couleur. Influence de Rubens et des estampes japonaises. Commença la série de ses autoportraits et "Tête de mort à la cigarette".

Un des tout premier jours du mois de mars, Vincent se rend à Paris où il attend Théo au Salon carré du Louvre. Il va habiter chez Théo rue de Laval. En mars 1886, il va à l'atelier Cormon où il fait la connaissance de Toulouse-Lautrec et du jeune Emile Bernard. Il peint en plein air à Asnières, aux bords de la Seine, à Chatou et Joiville. Après des conversations passionnées avec Gauguin et Bernard il ne considère en aucun cas l'Impressionnisme comme un point final. En outre il recontre Degas, Pissarro, Guillaumin, Anquetin, Russell, Reid, Bernard, Gauguin, Toulouse-Lautrec, Seurat et Signac.

21 février, Vincent, ayant quitté Paris, vient à Arles et est fortement impressionné par la lumière argentée et la chaleur des couleurs dans son « Japon français », ainsi qu'il nomme le paysage provençal. Il peint un nombre considérable de vergers en fleurs. Il invite Paul Gauguin à venir avec lui, jusqu'au conflit qui se terminera pas l'oreille coupée de Vincent. Vincent est interné à l'hôpital de Saint-Paul de Mausole.

Entra à l'Hôtel Dieu en mars 1889, puis se fit volontairement interné à l'asile St-Paul de Saint-Rémy-de-Provence de mai 1889 à mai 1890 où il subit trois terribles crises.